Bonsoir svp aidez moi a répondu de à ces question c'est pour demain 1 expiquer la dernier strophe 2 quel sentiment le poète exprimé til dans ce poème 3 reecrive
Français
mksgs
Question
Bonsoir svp aidez moi a répondu de à ces question c'est pour demain
1 expiquer la dernier strophe
2 quel sentiment le poète exprimé til dans ce poème
3 reecrivez chaque strophe en transformant le présent à limparfait
voici le poème
Petit globe de cristal,
Petit globe de la terre,
Je vois au travers de toi
Ma jolie boule de verre.
Nous sommes tous enfermés
Dans ton sein dur et sévère
Mais si poli, si lustré
Arrondi par la lumière.
Les uns : ce cheval qui court
Une dame qui s'arrête
Cette fleur dans ses atours
Un enfant sur sa planète.
Les autres : assis à table
Ou iùmant un petit peu,
D'autres couchés dans le sable
Ou chauffant leurs mains au feu,
Et nous tournons sur nous-mêmes
Sans vertige et sans effort
Pareils au ciel, à ses pierres
Nous luisons comme la mort.
1 expiquer la dernier strophe
2 quel sentiment le poète exprimé til dans ce poème
3 reecrivez chaque strophe en transformant le présent à limparfait
voici le poème
Petit globe de cristal,
Petit globe de la terre,
Je vois au travers de toi
Ma jolie boule de verre.
Nous sommes tous enfermés
Dans ton sein dur et sévère
Mais si poli, si lustré
Arrondi par la lumière.
Les uns : ce cheval qui court
Une dame qui s'arrête
Cette fleur dans ses atours
Un enfant sur sa planète.
Les autres : assis à table
Ou iùmant un petit peu,
D'autres couchés dans le sable
Ou chauffant leurs mains au feu,
Et nous tournons sur nous-mêmes
Sans vertige et sans effort
Pareils au ciel, à ses pierres
Nous luisons comme la mort.
1 Réponse
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1. Réponse SadCloud
3)Petit globe de cristal, petit globe de cristal,
Petit globe de la terre , Je voyais à travers de toi. Ma jolie boule de verre. Nous étions tous enfermés dans ton sein lustre. Arrondi par la lumière. Les uns : ce cheval qui courait . Une dame qui s’arrêtait. Cette fleur dans ses atours enfant sur sa planète. Les autres: assis à table Ou ............ et nous nous tournions sur nous-mêmes. Sans vertige et sans effort.... Nous luisions comme la mort.