bonjour pouver vous m'aider a corriger mes faute d'orthographe svp Nous creusons les trancher à la main, ce travail est épuisant d'autant plus que nous sommes f
Question
Nous creusons les trancher à la main, ce travail est épuisant d'autant plus que nous sommes fatiguée. Nous fabriquons ses tranchée avec des branchages de fagot, le sol est recouvert par des caillebotis pour isoler de humidifier et de la boue. Autour nous disposons des barbelés pour faire ralentir les ennemies. A l'intérieur nous fabriquons des tables est des tabouret pour les taches quotidiennes. Nous vivons constamment dans l'angoisse, la souffrance, le stress et le danger permanent.
L'hiver c'est l'enfer nous vivons dans l'eau, la boue, nos pied sont gelé, on as faim et soif. Il y as aussi les odeurs des cadavres en décompositions qui se mêlent au odeur de gaz des combats. Nous sommes comme des bêtes sauvages dans ses tranchées.
2 Réponse
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1. Réponse guillaume77190
Salut a toi voici la correction de ton texte
Nous creusons les trancher à la main, ce travail est épuisant d'autant plus que nous sommes fatiguées. Nous fabriquons ses tranchées avec des branchages de fagot, le sol est recouvert par des caillebotis pour isoler d'humidifier et de la boue. Autour nous disposons des barbelés pour faire ralentir les ennemies. À l'intérieur nous fabriquons des tables est des tabourets pour les tâches quotidiennes. Nous vivons constamment dans l'angoisse, la souffrance, le stress et le danger permanent.
L'hiver c'est l'enfer nous vivons dans l'eau, la boue, nos pieds sont gelés, on a faim et soif. Il y a aussi les odeurs des cadavres en décompositions qui se mêlent aux odeurs de gaz des combats. Nous sommes comme des bêtes sauvages dans ses tranchées.
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2. Réponse lazcharlie
Nous creusons les trancher à la main, ce travail est épuisant d'autant plus que nous sommes fatiguées. Nous fabriquons ses tranchées avec des branchages de fagot, le sol est recouvert par des caillebotis pour isoler d'humidifier et de la boue. Autour nous disposons des barbelés pour faire ralentir les ennemies. À l'intérieur nous fabriquons des tables est des tabourets pour les tâches quotidiennes. Nous vivons constamment dans l'angoisse, la souffrance, le stress et le danger permanent.
L'hiver c'est l'enfer nous vivons dans l'eau, la boue, nos pieds sont gelés, on a faim et soif. Il y a aussi les odeurs des cadavres en décompositions qui se mêlent aux odeurs de gaz des combats. Nous sommes comme des bêtes sauvages dans ses tranchées.