Bonjour, j'ai grandement besoin d'aide. En effet, j'ai un devoir de français noté, or je n'y arrive pas. Réaliser 4 vers qui résume la tirade de PHEDRE, scène 5
Français
Anonyme
Question
Bonjour, j'ai grandement besoin d'aide. En effet, j'ai un devoir de français noté, or je n'y arrive pas. "Réaliser 4 vers qui résume la tirade de PHEDRE, scène 5, acte II, vers en alexandrins"
Je vous remercie du fond du coeur pour toute aide
Je peux vous mettre la tirade si vous le voulez
Phèdre
Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée.
Je l'aime, non point tel que l'on vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche,
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les coeurs après soi,
Tel qu'on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage,
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des voeux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? Pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l'élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite.
Pour en développer l'embarras incertain,
Ma soeur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non, dans ce dessein je l'aurais devancée.
L'amour m'en eût d'abord inspiré la pensée.
C'est moi, Prince, c'est moi, dont l'utile secours
Vous eût du Labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m'eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n'eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu'il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j'aurais voulu marcher,
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue. ] Hippolyte Dieux ! qu'est-ce que j'entends ? Madame, oubliez-vous Que Thésée est mon père, et qu'il est votre époux ?
Je vous remercie du fond du coeur pour toute aide
Je peux vous mettre la tirade si vous le voulez
Phèdre
Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée.
Je l'aime, non point tel que l'on vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche,
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les coeurs après soi,
Tel qu'on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage,
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des voeux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? Pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l'élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite.
Pour en développer l'embarras incertain,
Ma soeur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non, dans ce dessein je l'aurais devancée.
L'amour m'en eût d'abord inspiré la pensée.
C'est moi, Prince, c'est moi, dont l'utile secours
Vous eût du Labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m'eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n'eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu'il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j'aurais voulu marcher,
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue. ] Hippolyte Dieux ! qu'est-ce que j'entends ? Madame, oubliez-vous Que Thésée est mon père, et qu'il est votre époux ?
1 Réponse
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1. Réponse maudmarine
Bonjour,
Revirement à l'intérieur de la scène,
Ponctuation et juron, incompréhension,
La honte et la culpabilité reviennent,
Champ lexical de l'amour et répétitions.