bonjour je n'arrive pas à cet exercice mais le problème c'est qu'il est à rendre pour demain et noter j'ai un manque d'imagination un énorme merci à ceux qui m'

Maxime et Léa s'enfoncent de plus en plus profondément dans la forêt, essayant de retrouver leurs parents qui doivent commencer à s'inquiéter de ne pas les voir revenir. A chaque pas qu'ils font, les craquements des feuilles mortes les font sursauter. Une peur affreuse s'empare d'eux tandis qu'ils progressent difficilement sur le chemin où l'obscurité est de plus en plus forte. Ils se rapprochent l'un de l'autre pour trouver du réconfort alors qu'ils tremblent comme des feuilles.

Soudain, Léa fut persuadée d'avoir entendu un son étrange. Elle s'élança vers la source de ce bruit, écartant des branches qui lui barraient le chemin et derrière lesquelles elle apercevait une faible lueur. Mais elle s'arrêta sur le champ, horrifiée par ce qu'elle voyait.

Une maison délabrée lui faisait face. Le bruit qu'elle avait entendu s'était amplifié, elle pouvait à présent entendre des murmures inquiétants s'échappant de la demeure. La façade de celle-ci était percée de deux fenêtres par lesquelles Léa pouvait voir les silhouettes affreuses, monstrueuses, des occupants de la maison. Ils étaient bien trop grands, même pour des adultes, et leurs traits étaient déformés.

Maxime lui avait couru après. En la rejoignant et en découvrant la maison, il eut l'air rassuré, persuadé qu'ils pourraient demandé de l'aide à ses habitants pour retrouver leur chemin. Il s'avança donc jusqu'à la porte avec l'intention d'y frapper mais il arrêta son geste. A côté de lui, dans un buisson bordant le perron, il vit quelque chose d'étrange. Il s'approcha alors que le doute s'insinuer en lui. Mais son intuition fut confirmée : les ossements et des crânes étaient éparpillés dans le buisson, ils avaient l'air d'avoir été négligemment jetés par la fenêtres. Mais surtout, ils avaient l'air humain.

Alors qu'il allait s'enfuir en courant, emmenant sa sœur loin de cette maison et des créatures qui y vivaient, la porte s'ouvrit brusquement. L'ogre sourit en apercevant Maxime et Léa, dévoilant ses énormes et affreuses dents.